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Dimensions 153.5 x 78.6 x 8.5 mm
Poids 176 g
Diagonale d'écran 5.7 pouces
Définition d'écran 2560 x 1440
DPI
Type d’écran
Part de l’écran en surface 74.55 %
Puce mobile Qualcomm Snapdragon 805
Processeur Qualcomm Snapdragon 805 - 2.7 GHz
Nombre de cœurs 4
GPU intégré (iGPU) Adreno 420
Mémoire vive (RAM) 3 Go
Mémoire interne 32 Go
Carte mémoire oui
Capacité de la batterie 3220 mAh
Capteur photo 16 Mpx
Capteur photo avant
Captation vidéo
Système d'exploitation (OS) Android
Version d'OS testée 4.4.4 (Kitkat)
Connectique
Capteur d’empreintes digitales
Type Wi-Fi
Type Bluetooth
NFC oui
4G (LTE) oui
Dual-sim non
Format carte SIM
Niveau d'exposition (DAS) NC
Type d'étanchéité non
Gyroscope
Face-à-face ►
PRÉSENTATION
Si les LG G3, Apple iPhone 6 Plus et autres Xperia Z3 se placent sur le même étal avec des tailles de plus de 5 pouces et beaucoup de puissance, le Galaxy Note offre un apport quasi unique en matière de productivité, que ce soit via son offre logicielle ou son stylet intelligent. Seul le BlackBerry Passport peut se targuer de draguer efficacement une certaine catégorie d'utilisateurs, mais avec d'autres atouts. Ayant ouvert la voie aux phablettes avec le premier Galaxy Note et n'ayant pas trop de problèmes pour en vendre par palette à chaque génération, Samsung lance donc le Galaxy Note 4, qui marque avant tout une rupture de design et l'adoption de la très haute définition.

Samsung Galaxy Note 4
Dans des mensurations identiques ou presque à celles du Galaxy Note 3 (2 mm de plus en haut, 1 mm de plus en épaisseur), Samsung propose un écran Super Amoled WQHD, soit 2560 x 1440 px, de 5,7 pouces, une puce mobile quadri-cœur Qualcomm Snapdragon 805 cadencée à 2,7 GHz, une mémoire vive de 3 Go et une capacité de stockage de 32 Go, extensible via l'ajout d'une carte microSD (jusqu'à 128 Go supplémentaires). À noter que la version coréenne du Note 4 dispose pour sa part d'une puce Samsung Exynos 7 Octa, la dernière plateforme octo-cœur maison de la firme.
Compatible 4G LTE catégorie 5 (réseau 4G+ jusqu'à 300 Mbps, carte micro-SIM), le Note 4 se dote également du Wi-Fi a/b/g/n/ac, du Bluetooth 4.0, d'un GPS/GLONASS et du NFC. Comme pour le Galaxy S5, un capteur d'empreinte digitale se loge  dans son bouton physique principal et un capteur cardiaque trouve refuge au dos. Côté photo, Samsung laisse de côté son capteur ISOCELL inauguré sur le GS5 et opte pour un module Sony de 16 Mpx avec stabilisation optique. À l'avant, on trouve un capteur de 3,7 Mpx grand-angle. Pour le stylet, Samsung poursuit sa collaboration avec Wacom, spécialiste du genre. Il propose désormais 2048 points de pression, soit le double du Note 3. On notera également que Samsung décide de reculer d'un pas concernant le port USB puisque l'USB 3.0 du Note 3 laisse place à un micro-USB 2.0 classique.
Si Android 4.4.4 KitKat anime la bête, c'est bien l'habituelle interface Samsung TouchWiz qui prend le pas.
Le smartphone géant Samsung Galaxy Note 4 est commercialisé au tarif indicatif de 749 €.

Samsung Galaxy Note 4
ERGONOMIE ET DESIGN
4/5
Changement de cap esthétique pour le Galaxy Note. Cette fois-ci, le fleuron de Samsung ne s'inspire plus du Galaxy S de l'année, mais bien de la nouvelle ligne intronisée par le Galaxy Alpha. On retrouve ainsi le cerclage anguleux et en aluminium de la nouvelle série du Coréen avec cette fois-ci une partie mate et une autre chromée. Finition que l'on retrouve sur les boutons de volume, On/Off et central.

Samsung Galaxy Note 4
De face, on se rend compte que l'écran est légèrement bombé. L'effet est plaisant, mais il est tout de même dommage que Samsung ait décidé de placer le pourtour alu par-dessus la chute de cet arrondi. Cela crée d'ailleurs un espace entre l'écran et le cerclage, mais durant la totalité de notre temps d'utilisation du produit, rien n'est venu se ficher dedans. Une impression d'espace surtout visuelle, en somme.

Samsung Galaxy Note 4
En revanche, pas de dos plastique mais une reprise, dans une meilleure finition, du dos plastique/gomme imitation cuir des derniers Note. Finies les fausses surpiqûres grossières, pour un dos vraiment plus élégant et simple.

Samsung Galaxy Note 4 Note 3
Une question de goût, sans doute, mais il nous semble que ce Galaxy Note 4 se veut plus classe que son prédécesseur.

Samsung Galaxy Note 4
Samsung aurait également pu travailler l'occupation de l'espace de sa dalle et explorer la possibilité d'un écran presque bord à bord, comme le fait LG avec son G3.  Si le Note est par ailleurs légèrement plus lourd de 10 g que son aîné, pour un poids total de 165 g (merci l'aluminium) et adopte des rebords plus anguleux, il conserve une excellente prise en main pour un tel gabarit.

Samsung Galaxy Note 4 Note 3
On peut toutefois souligner que si le Note se révèle plus grand qu'un G3, mais avec 0,2 pouce en plus, il affiche également une meilleure compacité qu'un iPhone 6 Plus qui, lui, propose 0,2 pouce de moins.

Samsung Galaxy Note 4
Bien entendu, le Galaxy Note 4 est pensé pour une utilisation à deux mains. Que ce soit pour tenir le stylet ou simplement pour naviguer au doigt, le terminal est plus agréable à utiliser de la sorte. Toutefois, même à une main, il est encore possible d'effectuer pas mal de choses. Le problème vient surtout du déverrouillage de l'appareil sous toutes ses formes, mais plus particulièrement via le lecteur d'empreinte. Bien moins efficace qu'un Touch-ID de chez Apple où il suffit de poser rapidement le doigt dans n'importe quelle position pour ouvrir l'accès aux données. Le lecteur du note 4, au même titre que celui du GS5 ou de la Galaxy Tab S, requiert un glissement du doigt, bien de face.

Samsung Galaxy Note 4
Proposer un glissement du côté du pouce lorsque l'on tient le mobile d'une main est voué à l'échec de lecture. De face, avec le Note 4 bien ancré dans une main et le doigt d'une autre pour activer le mobile, la lecture fonctionne plutôt bien, voire plus rapidement et avec un taux d'échec bien moindre que sur les produits Samsung susnommés, mais que cela reste fastidieux ! Même son de cloche pour le capteur cardiaque fiché au dos. Sa pertinence est toute relative, il faut souvent recommencer l'opération et l'on s'attend surtout à retrouver une telle fonction sur un objet connecté lié au smartphone que sur l'appareil lui-même. Là aussi, très fastidieuse utilisation et largement passable...
Enfin, si le terminal chauffe lors d'une utilisation intensive des ressources, nous n'avons pas noté de montée en température grandiloquente. La prise en main reste donc agréable en toute circonstance.
Concernant le stylet, en dehors d'une doublement des points de pression et donc de la sensibilité — 2048 points contre 1024 pour de l'ancien stylet S-Pen du Note 3 —, on note une meilleure compacité par rapport à la génération précédente. Il se fixe solidement dans son fourreau, se tient bien en main et possède toujours un bouton physique contextuel. Sa pointe et l'interaction Wacom permettent une saisie très rapide de l'information, notamment sur du dessin ou de la note manuscrite, mais aussi d'effectuer des pleins et déliés sans passer par une option, simplement en appliquant la bonne pression.
Il est également difficile de perdre le S-Pen, puisque s'il se retrouve sorti de son fourreau et que l'on s'éloigne de l'accessoire de quelques mètres avec le Note 4, ce dernier lance une notification d'alerte.
Au final, l'usage de ce stylet est toujours une belle expérience et un apport indéniable et pertinent pour qui en a besoin.
ECRAN
4/5
La dalle Super Amoled 5,7 pouces du Note 4 envoie théoriquement beaucoup de rêve. Si elle suit l'évolution remarquable de la qualité de rendu des séries Galaxy Note, nous devrions rencontrer un afficheur du tonnerre, qui cette fois se voit en plus accompagné d'une très haute définition WQHD de 2560 x 1440 px. En pratique, l'écran du Galaxy Note 4 se révèle être effectivement un excellent afficheur : contraste infini, luminosité maximale en hausse et une capacité à rester lisible dans tous les environnements (attention toutefois à une légère saturation des couleurs en mode manuel).
Samsung oblige, le note 4 dispose de plusieurs modes d'affichage : Basique, Cinéma, Photo et Adaptif. Ce dernier propose de mixer le meilleur de chaque mode en fonction de l'usage, mais ne se révèle pas comme le mode le plus pertinent. Il faut se tourner vers Basique pour obtenir la meilleure image possible ; des couleurs fidèles et équilibrées, une belle température des couleurs... le Note 4 devient sans problème l'une des références du secteur dans le domaine, aux côtés de l'iPhone 6 Plus. Et si ce dernier dispose d'un retard tactile inférieur (45 ms contre 67 ms pour le Note 4), le gros bébé de Samsung peut se targuer de propose une rémanence quasi nulle (7 ms), qui se ressent clairement à l'usage et dans la fluidité des vidéos.
Quant à la définition, comme ce fut le cas pour le LG G3, la différence reste réellement minime face à un Note 3, un Xperia Z3 ou un iPhone 6 Plus qui proposent des tailles approchantes ou similaires avec du Full HD. Reste un confort de lecture indéniable. Vous pouvez par ailleurs vous rendre sur notre article dédié à l'écran du Note 4, plus complet et riche en mesures (lien ci-dessous).
Consulter notre compte-rendu complet de l'écran du Galaxy Note 4
INTERFACE ET NAVIGATION
Qui dit Samsung sur mobile intelligent dit TouchWiz, l'interface maison et (très) colorée. Le Galaxy Note 4 ne déroge pas à la règle et fait la synthèse des dernières évolutions logicielles de la marque. On retrouve l'essence du Galaxy S5, additionnée aux extensions d'usage du stylet S-Pen. Bien entendu, les applications et services basiques de Google sont là : Now, interaction vocale via "Ok Google", Gmail, Maps, Hangouts, YouTube, le magasin d'application Play tore...

    
Pour la partie Samsung apps, il faut compter avec S Health pour le suivi fitness, un lecteur vidéo efficace et éprouvé, mais aussi une ribambelle d'applis utiles made in géant de Corée à télécharger, gratuitement, sur la plateforme Galaxy Apps (ex-Samsung Apps), comme l'excellent mode Enfant, le traducteur S Translator ou l'éditeur de vidéo maison. En partenariat avec l'agrégateur de contenus Flipboard, Samsung propose également une page intégralement dédiée à l'actualité dynamique.

    
Du côté de l'usage stylet, l'application S Note, complète et efficace, n'a plus rien à prouver. Sortir le stylet de son fourreau active la roue Air Command, qui permet de lancer au choix 4 fonctions : une capture d'écran, une capture sélective à main levée, une autre plus cadrée qui peut reconnaître des parties textuelles et Action Memo, un post-it instantané très poussé. Des éléments très simples mais diablement efficaces pour capturer des contenus, les intégrer facilement à des documents et les partager.

    
La roue peut également être invoquée en cliquant sur le bouton du stylet lorsqu'il se trouve à moins de 2 cm de l'écran. Si vous connaissez la série Galaxy Note, vous êtes au fait du tracking du stylet par l'écran. Il est encore amélioré ici, pour encore plus de réactivité et d'anticipation des actions.

    
Autre petit outil de productivité : l'application Note Photo permet d'aspirer du texte à partir d'une photo d'une page de livre et l'on peut ensuite modifier le contenu. Impressionnant et très rapide dans l'exécution, tandis que le mémo vocal enregistre des segments de 5 minutes qu'il retranscrit à l'écrit en direct. Quelques erreurs mais un fonctionnement globalement pertinent.
Petit bémol concernant la reconnaissance d'écriture, qui n'évolue pas beaucoup. Elle reste efficace, mais elle demande un peu d'application et l'exercice requiert encore une certaine habitude car le système n'encaisse que trop peu l'écriture continue.

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Notons également qu'ici, le multitâche est "réel" puisque l'on peut afficher 2 applications en simultanée et échanger des contenus quand cela est possible. La zone d'affichage de chaque fenêtre est paramétrable. Une trentaine d'applications sont compatibles, toutes accessibles via le mini-lanceur d'applis qui apparaît en appuyant 2 secondes sur la touche sensitive de retour arrière. Il suffit de jeter une icône depuis ce menu vers l'écran pour lancer l'appli. Nous n'avons presque jamais observé de ralentissement sur cet usage pourtant lourd à souhait, qui plus est avec un afficheur WQHD. Le Galaxy Note 4 recèle une foule de petits usages très utiles qui trouvent un sursaut ergonomique dans l'apport du stylet et la bonne utilisation de toute la surface de l'écran et la multiplication des applis fenêtrées.


    
Rayon performances, la puce Snapdragon 805 se montre bien évidemment très à l'aise au pays des benchmarks, se classant juste au même niveau que les puces Apple A8 de l'iPhone 6 Plus et Nvidia Tegra K1 32-bits dans la plupart des tests bruts. À l'usage, le Note 4 fait montre d'une excellente fluidité, tout en conservant les mini-accrocs inexplicables, épars et aléatoires si chers à notre ami TouchWiz le gourmand. Face à quelques voix discordantes sur différents forums d'Internet faisant état de grosses chutes de performances à la suite de certains usages, nous avons voulu vérifier ces dires. Ainsi semblerait-il que le Snapdragon 805 subisse une violente dépressurisation, de 2,7 à 1 GHz sur ses cœurs, lorsque la puce est stressée outre mesure et que cela survient très vite.
Premier constat : sur une heure de jeux avec le très gourmand Real Racing 3, nous n'avons pas noté de chute vertigineuse de fluidité, seuls quelques accrocs coutumiers sur certaines courses lourdes. Il apparaît que la fréquence d'horloge de la puce met bien le holà après de nombreux tours de circuit, mais nous n'avons pas vraiment vu de différence notable en jeu. En revanche, un test de stress via un lancement en boucle de 3D Mark fait chuter les performances de moitié au bout du 5e bench d'affilée (de 62 i/s à 30 i/s de moyenne), soit un stress véritable qui ne peut être que sciemment pratiqué et non subi. Là, en sortie de benchmark, la navigation dans le Note 4 cahote un peu puis tout rentre dans l'ordre au bout de 3 minutes. De quoi fouetter un chat ? Pas en l'état d'après nous.
Enfin, il est bon de noter que le Galaxy Note 4 sera le premier smartphone de la marque à se voir offrir un laisser-passer vers Android 5.0 Lollipop avant la fin de l'année. Nous reviendrons sur les apports de cette prochaine énorme mise à jour annoncée le cas échéant.
MULTIMÉDIA
La navigation Web est parfaite, rapide, fluide, ultra-confortable pour la rétine grâce à la définition de l'écran. Le multitâche complet du Note 4 permet même d'afficher deux pages Web en simultané en lançant Chrome d'un côté et le navigateur basique de l'autre sans aucun temps mort dans l'exploration.
La lecture vidéo est, comme toujours avec les mobiles haut de gamme Samsung, un pur régal. Tout fichier ou presque peut être avalé et lu par le lecteur dédié, doté d'une belle profondeur d'options. La lecture en mode fenêtre à taille paramétrable permet, en dehors du multitâche compatible bien sûr, de regarder un contenu tout en navigant dans la phablette.
Côté jeux vidéo, si le Galaxy Note 4 ne se prédestine pas prioritairement, dans son pédigrée et son positionnement, à une utilisation vidéoludique, force est de constater qu'avec un Snapdragon 805, son iGPU Adreno 420, ses 3 Go de RAM et un tel écran, notre petit père ici présent a toutes les armes pour devenir une belle machine à jouer. C'est bien entendu le cas. Tous les titres du Play Store tournent avec fluidité et, comme souligné en fin de partie précédente de notre test, il faut sciemment mettre le Note 4 à genoux avec l'outil nécessaire pour trouver à redire.
Côté audio, la prise casque du Galaxy Note 4 s'offre une puissance de sortie dans la moyenne et permet d'alimenter la plupart des casques audio, le tout sans la moindre distorsion. La plage de dynamique est correcte et la reproduction du rendu stéréo est bonne. Le haut-parleur externe de cet appareil haut de gamme mériterait d'être revu. Il manque de puissance, sature rapidement et le rendu audio est un peu trop clair.
PHOTO
4/5
Samsung change son fusil d'épaule pour ce Note 4. Adios le capteur ISOCELL maison tant vanté par la marque à la sortie du GS5 et place à un module stabilisé Sony IMX240 à 5 lentilles et capteur de 16 Mpx. Si l'interface ne change pas outre mesure d'un haut de gamme Samsung à l'autre, avec toujours une navigation très simple que vient largement compenser l'absence de légèreté dans le graphisme (très lourd, très solennel et... pragmatique), les résultats sont bien meilleurs. Les prises de vue sont nettes, toujours, mais également dotées d'un rendu plus naturel. Le déclenchement, s'il prend parfois un peu de temps en entrée d'appli photo, se comporte comme une fusée sur les prises de vue suivantes.
Les clichés en basse lumière tirent vers le rouge, mais la stabilisation optique fait des merveilles. Nous sommes proches de l'expérience photographique de l'iPhone 6 Plus, qui reste plus naturel en rendu, mais propose moins de modes créatifs. Côté vidéo, si la captation WQHD et Ultra HD-4K est proposée, seul le mode Full HD dispose de la stabilisation optique. Son fonctionnement est incroyable et l'on obtient sans peine la meilleure image animée Full HD du marché en compagnie de l'iPhone 6 Plus. En UHD, le rendu reste très satisfaisant et plutôt stable, mais encore faut-il en avoir l'usage.
Enfin, le capteur avant grand-angle et ses 3,7 Mpx raviront les fans d'autoportrait. Les clichés sont propres, assez lumineux et l'appareil reste ici aussi ultra-réactif. Pour une revue détaillée des capteurs du Note 4, rendez-vous sur l'article dédié via le lien ci-dessous.
Consulter notre compte-rendu complet de l'appareil photo et du capteur avant du Galaxy Note 4
AUTONOMIE
4/5
Samsung croit vraisemblablement dur comme fer en sa capacité d'optimisation, puisque la marque conserve presque la même capacité d'accumulateur que pour le Note 3, à savoir 3220 mAh (contre 3200 mAh auparavant), pour un appareil passant à une plus grosse définition d'écran. Mais le Note 4, c'est aussi pour ce modèle européen l'utilisation d'une puce Snapdragon 805 qui hérite du savoir-faire de Qualcomm en gestion énergétique. Sur le terrain, le Galaxy Note 4 rejoint les meilleurs smartphones du marché dans ce créneau. Avec le même usage, la bête peut tenir deux bonnes journées complètes. En martyrisant la phablette avec du téléchargement, du surf et du streaming 4G, des réseaux sociaux, du jeu très lourd de manière intensive, nous n'avons pu en venir à bout sur une journée.
En streaming vidéo HD continu via Netflix, la batterie propose un peu moins de 10 heures de fonctionnement, soit environ 10 épisodes d'une série et autant qu'un iPhone 6 Plus ou les meilleures tablettes dans le genre. En jeu vidéo pur et dur, la durée de fonctionnement fond forcément de manière drastique, avec une autonomie oscillant entre 4 et 5h selon les ressources nécessaires. Des performances très solides et rares, surtout pour un smartphone équipé d'un tel écran, avec de l'Amoled de surcroît.
Quant à la recharge énergétique, le Note 4 intronise un nouveau type de charge rapide. Il est ainsi possible de récupérer près de 50 points de batterie en 40 minutes environ, si tant est que l'on utilise le bloc secteur fourni ou un bloc de 2,1 A. Efficace.  
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Update: The newer Apple Watch 2 and refreshed Apple Watch Series 1 outfit the iPhone smartwatch with new features. But if you don't need a built-in GPS chip, waterproof specs or extra battery life, the cheaper original Apple Watch is still a good fit. Here's our updated review of it and its watchOS 3 software.


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Donning the Apple Watch in 2017 is a little more tempting because of new deals, while the app count is suddenly higher. There's also a new operating system update, too, watchOS 3. It's a fantastic smartwatch, as long as you're expecting an iPhone-tied convenience gadget and not a game changer.

That's why my Apple Watch is still ticking away on my wrist almost two years after its initial launch. It never ended up being called the "iWatch," but it really is "my watch" and Apple's most personal gadget yet.

This iPhone 5-and-up-compatible smartwatch has more than 71 flavors, with different case materials, colors, sizes and interchangeable Apple Watch bands. But, warning, almost all of the prices can be as much as a new iPhone on contract.

Apple Watch review

Before the Apple Watch 2 displaced it, the original Apple Watch cost started at $269 (£269, AU$399), a discount over the launch price of $349 (£299, AU$499). It peaked at an exorbitant $17,000 (£13,500, AU$24,000). Ouch.

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he Nokia 6 blends premium design, solid specs and an affordable price tag into a handset which could well put the brand back on the mobile map.

FOR
Premium metal build
Affordable price tag
Bright, full HD display
AGAINST
Question mark over performance
Nokia has returned! The once-iconic smartphone brand is back in business thanks to Finnish startup HMD signing a 10-year license deal to stick the Nokia name on smartphones and tablets, and the Nokia 6 is the top dog in its initial lineup of four devices.

Nokia’s trio of smartphones (the fourth is the feature phone 3310 reboot) were launched at MWC 2017 and focus on a premium build, a simple UI and affordable price tags – and early indications were positive as we got to grips with the new Nokia 6.

The phone boasts a 5.5-inch Full HD display, Snapdragon 430 chipset, 3GB of RAM, 32GB of internal storage, 16MP rear camera, 8MP front camera, fingerprint scanner and a 3,000mAh battery.

Watch our hands-on with the Nokia 6 video below for a quick look at the new phone

Nokia 6 price and release date

The Nokia 6 price is €229 (around $240, £195, AU$315), which drops it into a rather affordable category in the market, and looking at the spec sheet you get a decent amount of bang for your buck.

If you’re feeling a little more exclusive you could always pick up the Nokia 6 Arte Black special edition, which has a glossy ‘piano black’ rear, 4GB of RAM, 64GB of internal storage and a price tag of €299 (around $315, £255, AU$410).

There’s no firm Nokia 6 release date just yet – all we’ve been told is that it will roll out globally during Q2 of this year, so that's sometime between April and June.

More Nokia hands-ons: Nokia 5 | Nokia 3 | Nokia 3310
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Nokia 6 design and display

The Nokia 6 is crafted from a single block of aluminum, and the result is a phone which feels far more premium than its budget price tag.

There’s a reassuring weight to the handset, and while its 154 x 75.8 x 7.85mm dimensions make it a sizable presence in the hand, it’s still easy to use.

We found the flat sides of the Nokia 6 weren’t as comfortable on the palms as phones with rounded edges – like the Nokia 5 and 3 – and this is noticeable if you hold the phone in one hand for an extended period of time.

You’ll be able to get the standard Nokia 6 in four colors (silver, copper, matte black and tempered blue), and there’s the glossy Arte Black special edition as well.

The power/lock and volume keys are easy to hit on the right of the phone, and Nokia has also included a 3.5mm headphone jack up top, while a microUSB port resides next to a single internal speaker on the base of the handset.

Considering the price of the phone it's nice to see a fingerprint scanner (which doubles as the home key) on the front of the Nokia 6, flanked by capacitive-touch back and multi-tasking keys.

Meanwhile the large 5.5-inch Full HD display is bright and clear, and it’s more than good enough for a handset in the bracket the Nokia 6 falls into.

It means video playback and gaming should look really good on the Nokia 6, with plenty of space for on-screen controls.

Nokia 6 interface and performance

Android purists will be happy here. The Nokia 6 runs Android 7 Nougat and… that’s it. There’s no clunky overlay, and no pre-installed bloatware. Nokia has opted to stick with the stock Android interface, and it’s a choice we’re happy with.

It makes the Nokia 6 easy to navigate, and performance was smooth for the basic tasks we carried out on the handset.

There’s a Snapdragon 430 processor under the hood along with 3GB of RAM (or 4GB if you opt for the Arte Black edition), which provided more than enough power for general usage and the camera.

We do wonder whether the entry-level chipset may struggle with heavy lifting tasks, but you’ll have to wait for our full review to see how it copes under pressure.

If the 32GB of space inside the new Nokia 6 isn’t enough (although for many that’s unlikely) there’s a microSD slot too, which supports cards up to 128GB in size.

Nokia 6 battery and camera

The Nokia 6 comes with a non-removable 3,000mAh battery which should see out a day on a single charge with general usage, although again we won’t know for sure until we’ve put the phone through our in-depth review process.

Round the back a well-equipped 16MP camera protrudes slightly from the rear of the phone, and offers HDR and a dual-tone flash.

The Nokia 6 we got hands-on with wasn’t running final software, so the camera wasn’t performing at its optimum level, but we were still impressed with the handful of photos we managed to snap.

On the front an 8MP selfie snapper is more than serviceable for the occasional vanity shot.

Early verdict

The Nokia 6 looks like a really good, affordable smartphone. It’s got a decent spec sheet and a great design, while the stock Android interface should mean it gets software updates promptly.

Our only major reservation for now is the chipset, and how it copes under heavy- lifting, but the early signs for Nokia’s return are positive.

MWC (Mobile World Congress) is the world's largest exhibition for the mobile industry, stuffed full of the newest phones, tablets, wearables and more. TechRadar is reporting live from Barcelona all week to bring you the very latest from the show floor. Head to our dedicated MWC 2017 hub to see all the new releases, along with TechRadar's world-class analysis and buying advice about your next phone.

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In the seven years since the introduction of the PlayStation 3, we've seen our gaming consoles transform into living-room hubs through constant evolution and software updates. Those updates weren't always smooth – though on PS3, they were always happening – but it's easy to see just how far the platform has come.

Meanwhile, the designers of the PlayStation 4 were taking notes and designing a console that, feature by feature, sought to address the failings of its predecessor. The PS3 was notoriously difficult to program for, thanks to its proprietary silicon. So the PS4 was built to be developer-friendly, with a familiar, PC-like architecture. The PS3 was announced with a bizarre, boomerang-shaped controller, and launched with the rumble-free Sixaxis controller before settling into the never-great DualShock 3 controller. So the PS4 comes with the DualShock 4, inarguably the best controller Sony's ever made. And the PS3 launched at an abnormally high price point, costing $200 more than its competition. So the PS4 carries a far more aggressive price, asking $100 less than the competition this time around.

While Sony in 2006 was focused on driving adoption of the Blu-ray standard, envisioning another home media boom that never quite materialized, Sony in 2013 has no such distractions. The PS4 isn't built to sell 3D TVs, or Blu-ray discs or any other corporate mandate. It's a gaming console, a clear message that Sony has been quick to repeat.

That focus has resulted in a console that's better positioned than the PlayStation 3 was in 2006 to compete in an expanding turf war for the living room. But that same focus has also kept Sony from taking the kinds of chances that make generational leaps so exciting.

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The Xbox One might be out there in the next generation, but the Xbox 360 has changed since its launch in 2005.

That much is transparently clear from the updated version that debuted in 2010.

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The Xbox 360 S is smaller, sleeker and quieter than the previous model and designed to banish the infamous 'Red Ring of Death' hardware failure that forced Microsoft to extend its warranty on the system.

Likewise the arrival of Kinect, which has gone on to sell over 10 million units, has transformed the machine from solely the preserve of hardcore gamers to a casual gamer friendly environment.

While some of the novelty of Kinect may have worn off, if anything the games are improving – finding new ways to take advantage of what is still fascinating technology.

But Microsoft is and always has been a software company first and foremost and, fittingly, that's where the Xbox 360 has changed the most. The NXE update of 2008 binned the old 'blades' system for an interface that was more welcoming to multimedia content and 2011 has seen another major update to the console's operating system. One so substantial, we've felt it necessary to update this review to reflect what a different machine it is.

Whether it's the old model or the new one, the Xbox 360 has now comprehensively changed from a machine primarily about playing games, with a modest selection of online content attached, to a fully featured entertainment and media hub.

new xbox 360 dashboard

The majority of forms of digital entertainment are catered for, there are extensive social networking features available and a new TV tab aims to replace traditional digital boxes with IPTV and catch up services.

The new dashboard, based around the Metro design language that also features in Windows 8 and Windows Phone 7, is a far busier interface, but it's reflective of the huge amounts of content now available within the walled garden of Xbox Live.

Getting to it all has always been the challenge and Microsoft has made admirable steps towards making that a straightforward process.

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The upscale Samsung Galaxy S6's smooth glass-and-matte-metal body, improved fingerprint reader, and convenient new camera shortcut key make the phone a stunner. Samsung's decluttered take on Android 5.0 brings the beauty inside, too.

The bad Longtime fans will bristle at the Galaxy S6's nonremovable battery and absent expandable storage. The phone has an intensely reflective backing and looks embarrassingly like the iPhone 6. Battery life, while good, falls short of last year's Galaxy.

The bottom line Worldly looks and top-notch specs make the impressive, metal Samsung Galaxy S6 the Android phone to beat for 2015.

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CNET REVIEW

Fall '16 update

Anointed by CNET as the "first great smartphone of 2015," the Galaxy S6's attractive aesthetics, first class components and wireless charging support made it stand out from the field. Then, in March 2016, Samsung introduced its successor, the Galaxy S7, to rave reviews. Six months on, we still love it.

You may have heard about one of the Galaxy S6's newer siblings, the Galaxy Note 7; it featured a little in the news this fall. Initially praised as Samsung's ultimate phone, the Galaxy Note 7 was subverted by problems with overheating and, in some cases, catching fire. After a botched recall and some very negative publicity, in September Samsung stopped production of the Galaxy Note 7.

The Galaxy S6 and S7, along with their larger S6 Edge and S7 Edge brethren, were not involved in the scandal, and are terrific phones that do not explode. The newer S7 models have expandable storage, are water-resistant and come with bigger batteries and more powerful processors; the older versions are considerably less expensive. To get a feel for how Samsung's current top models stack up against their predecessors, check out our comparison of the Samsung Galaxy S7 and S7 Edge vs. the Galaxy S6, S6 Edge, Note 5 and S6+.

There are other phones to consider, of course. Apple released its iPhone 7 and 7 Plus and Google recently released its Pixel phone. Still, though the Galaxy S6 and its plus-sized S6 Edge sibling are solid, affordable, full-featured phones that are well worth the money, their successors -- the Galaxy S7 and Galaxy S7 Edge -- are the better phones to buy, by far.

Editors' note: What follows is the original review of the Samsung Galaxy S6, which was updated regularly after its publication on March 26. In April 2015, CNET designated the Galaxy S6 an Editors' Choice Award winner. We have since lowered the rating to account for the better features and faster performance of the newer Galaxy S7 phones discussed above.

The Galaxy S6 leaves much of its Galaxy S5 DNA behind. Perhaps even more shocking than this materials about-face are the decisions to seal in the battery and leave out a microSD card slot, both choices made in service to staying slim. These are commonplace omissions in the smartphone sphere, but Samsung has been a die-hard defendant of both the removable battery and the extra storage option, until now. It's a move that makes a difference, too, at least on the power front. The S6's ticker ran down faster than last year's S5 did on a single charge.

In many ways, Samsung had no choice but to adopt this svelte, metal chassis and a pared-down, less "bloated" variation of Android 5.0 Lollipop. (Note that in February 2016 Samsung begun to roll out Android 6.01 Marshmallow to the Galaxy S6, bringing with it a number of new features including Google Now on Tap, "doze" mode for automatic extended battery life, support for Android Pay and more.) These moves silence customer complaints about the Galaxy S5's (and the S4's and S3's) plasticky build, while also girding Samsung against staggering iPhone profits and an army of decent low-cost rivals from Lenovo, Xiaomi and Huawei.

Luckily for Samsung, the S6 is good enough to win back straying fans while also surpassing the all-metal HTC One M9 in extra features, battery life and camera quality.

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